Dans le roman « Un Tour en Thaerie », le « méchant » (Ramus Ymph) va sur la planète Eisenbar pour obtenir des devises en vendant notamment les précieux tapis Djan de Maske.

Note de bas de page de la première page du récit :
« (2)  . Les Djans tissent des tapis d’une splendeur et d’une complexité sans pareilles. ll n‘est pas rare d’en trouver qui comportent dix mille nœuds au pouce carré, soit 6,25 cm2 .Ces tapis portent parfois l’épithète « une vie », « deux vies ». etc, pour indiquer le total de vies consacrées à leur création. »

Chapitre 11 : Jubal Droad enquête dans les boutiques de Kyash sur Eiselbar :

 « …Quel prix Compère Arphenteil a-t-il fixé pour son tapis ?
– Quatre cents SVU. Parfaitement déraisonnable, alors qu’on peut avoir pour dix fois moins une ravissante carpette en iseflin. Quel intérêt que les fibres du tapis de Compère Arphenteil aient été nouées à la main ? Que les teintures en soient vivifiées par la magie des chamans ? Que les fibres doivent être sélectionnées une à une, de quatre sources différentes ? Le pied de quelqu’un a-t-il besoin de savoir tout cela quand il se pose sur le tapis ? Les couleurs en, sont-elles plus vives ? Tout le contraire ! Voyez la gaieté de cet iseflin, comme elle contraste avec le rougeâtre fumeux du tapis de Compère Arphenteil. »

In the novel « Maske :Thaery », the « bad guy » (Ramus Ymph) goes to the planet Eisenbar to get currency by selling the precious Djan rugs of Maske.

Footnote on the first page of the story:

« The Djans weave rugs of unexampled splendor and intricacy. Ten thousand knots per square inch is not unusual. The rugs are occasionally characterized as ‘one-life’, ‘two-life’, and so forth, to indicate the aggregate number of lifetimes invested in the creation of the rug. »

Chapter 11: Jubal Droad investigates the stores of Kyash on Eiselbar:

« …What price has Husler Arphenteil placed on his rug?”
“Four hundred SVU. Quite unreasonable, when a delightful iseflin carpet may be had for a tenth as much. Who cares that the fibers in Husler Arphenteil’s rug have been knotted by hand? That the dyes are vitalized by the magic of shamans? That the fibers must be plucked one at a time, from four different sources? Does a person’s foot need to know all this, as it treads the rug? Are the colors brighter for this reason? Quite the reverse! Notice the gayety of yonder iseflin, in contrast to the purple murk of Husler Arphenteil’s rug.”